Cette expression traditionnelle caractérise bien la plante, résume de manière succincte toutes ses capacités d’hydratation de tout l’organisme en externe et surtout en interne : organes, tissus, cellules… la plante qui apaise tous les feux, quelque soit leur origine. Nous nous occupons de nos brûlures externes, la douleur est là, nous agissons.
Quant à nos brûlures internes, nous ne savons comment les apaiser, nous choisissons en général de les mettre sous le boisseau, de faire comme si nous n’avions pas mal à l’estomac après chaque repas, pas de gaz ni de ballonnements qui peuvent pourtant être si douloureux, pas de gêne pour évacuer les selles, alors que nous avons l’anus irrité ou des hémorroïdes, pas de troubles de la miction, alors que nous ne faisons que quelques gouttes irritantes de pipi ou alors, nous urinons dix fois par jour, pas de difficultés à respirer alors que notre nez est bouché à l’émeri ou qu’il coule en permanence, pas de douleurs dans les jambes alors que tous nos muscles sont contracturés, tendus et plus que sensibles, pas d’articulations qui « rouillent », se bloquent et grincent comme les portes d’un château alors que nous avons du mal à nous lever le matin, pas de difficultés de vision, alors que nos yeux pleurent, piquent, coulent et brûlent, pas de problèmes de sommeil, alors que nous sommes quasi insomniaques, ou dormons d’un sommeil peu réparateur, ou alors, nous masquons régulièrement tout cela avec des produits chimiques divers et variés, que nous accumulons dans le corps année après année, en ignorant joyeusement que cette façon de faire ne résout en rien l’origine de chacun de nos feux internes, ne fait que les aggraver, les intensifier, leur permettant de s’étendre, augmentant ainsi considérablement notre mal-être interne, ce qui nous amènent à déprimer.
Et la boucle est bouclée ; nous nous enfonçons de manière plus ou moins consciente dans tristesse et déprime, persuadés que notre organisme ne vaut plus grand chose, qu’il nous lâche, que l’âge et son cortège de maux sont là, qu’il n’y a rien à faire, alors qu’il suffit d’appeler le pompier végétal qu’est l’aloès pour revenir à la santé, une fois tous les feux éteints, le corps remis en état… avec bien sûr, temps et persévérance.
L’aloès est une eau végétale, comme l’eau de coco par exemple, une eau fabriquée à l’intérieur d’une plante, ce dont les animaux raffolent. L’aloès soigne très bien les animaux, chiens, chevaux et chats, oiseaux, tortues…
